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Photo de Patricia Laffilay
Les soirs de spleen, les lumières du soir sur l'océan, sont un baume pour le coeur
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- Blagues
(Medecin)
ça ne va pas du tout
- Docteur, ça ne va pas du tout. Lorsque j'appuie sur mon coeur, ça me fait mal. Quand je tâte mon foie, la douleur est intense, et quand je touche mon ventre, ça me fait très mal aussi. Vous avez une idée de ce que j'ai ?
- Oui, monsieur, le doigt cassé.----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
- (femme de ménage)
Pourquoi les femmes de ménage préfèrent-elles faire le ménage chez les musiciens ? Parce qu'elles ont un do mi si la sol fa si la si ré !
-(Dinausore)
Qu'est-ce qu'une maman dinosaure raconte a son bébé dinosaure?
Une préhistoire!<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p><o:p> </o:p>
(ascenseur et cigarette )
Quelle est la différence entre un ascenseur et une cigarette?
Il n y en a pas tous les deux font des cendres!<o:p></o:p><o:p> </o:p>
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Extrait de "Ordre du jour
Tenir les promesses de son enfance
Tenir tête à l'adversité
Ne pas épargner l'adversaire
Tenir parole ouverte
Tenir la dragée haute à ses faiblesses
Ne pas se laisser emporter par le courant
Tenir son rang dans le rang de ceux qui sont décidés
à tenir l'homme en position estimable
Ne pas se laisser séduire par la facilité
sous le prétexte que les pires
se haussent commodément au plus haut niveau
et que les meilleurs ont peine à tenir la route
Etre digne du privilège d'être
sous la forme la plus réussie: l'homme.
Ou mieux encore, la femme. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p><?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 coordsize="21600,21600" o:spt="75" o:preferrelative="t" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" filled="f" stroked="f"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:extrusionok="f" gradientshapeok="t" o:connecttype="rect"></v:path><o:lock v:ext="edit" aspectratio="t"></o:lock></v:shapetype><v:shape id=_x0000_i1025 style="WIDTH: 90pt; HEIGHT: 30pt" type="#_x0000_t75" alt="Jean-Pierre Rosnay" o:button="t"><v:imagedata src="file:///C:\DOCUME~1\PATRIC~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.gif" o:href="http://www.poesie.net/jpsign.gif"></v:imagedata></v:shape>
Jean-Pierre Rosnay <o:p></o:p><o:p> </o:p>
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La chanson de Prévert
Serge Gainsbourg
Oh je voudrais tant que tu te souviennes
Cette chanson était la tienne
Cétait ta péférée je crois
Quelle est de Prévert et Kosma
Et chaque fois Les Feuilles mortes
Te rappelle à mon souvenir
Jour après jour les amours mortes
Nen finissent pas de mourir
Avec dautres bien sûr je mabandonner
Mais leur chanson est monotone
Et peu à peu je mindiffère
À cela il nest rien à faire
Car chaque fois Les Feuilles mortes
Te rappelle à mon souvenir
Jour apès jour les amours mortes
Nen finissent pas de mourir
Peut-on jamais savoir par où commence
Et quand finit lindifférence
Passe lautomne vienne lhiver
Et que la chanson de Prévert
Cette chanson Les Feuilles mortes
Sefface de mon souvenir
Et ce jour-là mes amours mortes
En auront fini de mourir
Et ce jour-là mes amour mortes
En auront fini de mourir
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Le Serpent qui danse
Baudelaire. Chanté par Serge Gainsbourg
Que j'aime voir chère indolente,
De ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante,
Miroiter la peau !Sur ta chevelure profonde
Aux âcres parfums,
Mer odorante et vagabonde
Aux flots bleus et bruns,
Comme un navire qui s'éveille
Au vent du matin,
Mon âme rêveuse appareille
Pour un ciel lointain
Tes yeux où rien ne se révèle
De doux ni d'amer,
Sont deux bijoux froids où se mêlent
L'or avec le ferÀ te voir marcher en cadence
Belle d'abandon
On dirait un serpent qui danse
Au bout d'un bâton
Sous le fardeau de ta paresse
Ta tête d'enfant
Se balance avec la mollesse
D'un jeune éléphant
Et ton corps se penche et s'allonge
Comme un fin vaisseau
Qui roule bord sur bord et plonge
Ces vergues dans l'eau
Comme un flot grossi par la fonte
Des glaciers grondants
Quand l'eau de ta bouche remonte
Au bord de tes dents
Je crois boire un vin de Bohème,
Amer et vainqueur
Un ciel liquide qui parsème
D'étoiles mon cur !
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