• Marielle et Katia LABEQUE<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Un duo français de piano, le plus célèbre de la fin du siècle dernier et du  nôtre.<o:p></o:p>

    Katia est née en 1950 et sa sœur Marielle en 1952, toutes deux à Bayonne.<o:p></o:p>

    Il était une fois au pays basque, deux jolies petites filles bercées par les vagues et la musique.<o:p></o:p>

    Leur mère, elle-même élève de Marguerite Long fut leur premier professeur de piano.
    Elles obtiennent, toutes deux, un premier prix du conservatoire de Paris en 1968.<o:p></o:p>

    L’amour, le talent, la volonté et le travail quotidien les entraînent vers les sommets.<o:p></o:p>

    Elles mènent une carrière internationale éblouissante et sont invitées par les orchestres les plus prestigieux.<o:p></o:p>

    Très tôt, elles s’intéressent au répertoire à quatre mains. Au-delà du répertoire classique traditionnel, elles travaillent la musique contemporaine : Le jazz et le ragtime. Le répertoire des sœurs Labèque est inattendu. Elles passent de Brahms au Ragtime, de Liszt à Gershwin, de Schubert à Bernstein, de Mozart à Debussy…..<o:p></o:p>

    Leur premier enregistrement chez Philips, Rhapsody in blue de Gershwin reçoit un disque d’or.<o:p></o:p>

    En 2005, elles créent <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Fondation KLM"><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Fondation">la Fondation</st1:PersonName> KLM</st1:PersonName> ainsi que leur propre label de musique classique. La fondation a pour but d’approfondir la recherche et de développer la connaissance du répertoire pour deux pianos.<o:p></o:p>

    En attendant que nos magiciennes viennent interpréter sur leur terre …<o:p></o:p>

    LIEN UTILE : <o:p></o:p>

    Le site officiel de Katia et Marielle Labèque


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  • Lutte contre la pédophilie<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il n’est pas acceptable qu’une relation sexuelle se déroule sous la contrainte d’autrui, qu’il s’agisse de sollicitation, de viol ou pire.

    Chaque année, des milliers d’enfants subissent des abus sexuels et ce ne sont pas toujours les enfants des autres.

    Si j’écrits cet article c’est parce que j’ai été contactée par la maman d’un enfant de 7 ans.

    Une de mes amies s’est rendue compte trop tard que sa fille entre 12 et 16 ans était agressée sexuellement par le fils de son nouveau mari. Elle ne comprenait pas la violence de sa fille envers le « beau père » qui lui savait et ne disait rien. La jeune fille, aujourd’hui, va fêter ses 30 ans et a de gros troubles psychiatriques, certainement liés à ses blessures d’adolescente.

    Cela se produit dans tous les milieux.
    Je vais d’abord m’adresser aux jeunes. Aux jeunes lecteurs afin qu’ils transmettent à leurs frères et sœurs, plus jeunes, le message et que tous apprennent par coeur.


    MON CORPS M’APPARTIENT ET PERSONNE N’A DROIT D’Y TOUCHER.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les jeunes vous êtes innocents des attouchements dont vous pouvez être victimes.

    Vous ne devez pas permettre à un adulte quel qu’il soit, de toucher à vos organes sexuels.

    <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype><v:shape id=_x0000_s1026 style="MARGIN-TOP: 10.6pt; Z-INDEX: 1; MARGIN-LEFT: -51pt; WIDTH: 117.75pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 78.75pt; mso-wrap-distance-left: 0; mso-wrap-distance-right: 0; mso-position-vertical-relative: line" type="#_x0000_t75" o:button="t" o:allowoverlap="f" target="_blank" href="http://www.enfance-et-partage.org/" alt="Enfance et Partage"><v:imagedata o:title="enfance_et_partage" src="file:///C:\DOCUME~1\Laurent\LOCALS~1\Temp\msohtml1\02\clip_image001.gif"></v:imagedata><?xml:namespace prefix = w ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:word" /><w:wrap type="square"></w:wrap></v:shape>Autour de vous, vivent, des personnes que vous connaissez qui, peut être, ont un comportement anormal envers les jeunes et donc envers vous.

    Autour de nous, vivent des personnes, hommes et femmes qui ont une déviance qui relèvent de la maladie et les font se comporter de façon punissable. Cette déviance s’appelle PEDOPHILIE. Vous connaissez, souvent, votre agresseur. La plupart du temps cette personne exerce une autorité sur vous. Cette personne peut être un membre de votre famille, un enseignant….Il se peut que cette personne soit un de vos deux parents.

    <o:p> </o:p>

    Si un adulte  touche votre sexe dans un but indéfinissable, il vous agresse.

    Vous n’êtes pas le seul à qui cela arrive. Vous n’êtes pas la seule à qui cela arrive.
    IL FAUT EN PARLER.<o:p></o:p>

    Même si vous avez été menacé : « Si tu parles, je vais aller en prison » ou « Si tu parles, tu vas mourir »………

    Même si c’est très difficile, il faut réussir à en parler.<o:p></o:p>

    La loi interdit des actes sexuels sur les mineurs.

    L’abus sexuel sur mineur peut être défini comme la participation d’un jeune à des activités sexuelles qui ne sont pas de votre âge et sont perturbantes à votre développement. Plus simplement, si une personne vous touche sous la contrainte, par violence ou séduction, elle commet quelque chose de très grave. Cette agression qu’elle soit répétée ou non risque de vous créer des difficultés à construire votre vie d’adulte.

    Vous êtes une victime et il faut en parler.<o:p></o:p>

    A qui en parler, cela dépend de votre âge et de votre entourage familial ou autre. <o:p></o:p>

    Un médecin<o:p></o:p>

    Un ou une enseignante <o:p></o:p>

    Une personne en qui vous avez confiance.<o:p></o:p>

    Porter plainte auprès de la police ou de la gendarmerie.

    Il est possible que vous vous posez des questions et que vous cherchez simplement des informations. Il existe plusieurs associations.

    Ci-dessous deux adresses qui vous aideront vous ou votre frère, votre petite sœur, votre amie……

    Enfance et partage<o:p></o:p>

    Cette association a un numéro vert en France. Les personnes qui vont vous répondre connaissent les problèmes des mineurs victimes de violences physiques et sexuelles.<o:p></o:p>

    2-4 Cité Ameublement
    75011 Paris<o:p></o:p>

    Site Web : Enfance et Partage<o:p></o:p>

    Numéro vert : 800.05.1.2.3.4
    (fonctionne de 9 heures à 20 heures, du lundi au samedi). <o:p></o:p>

    Allo Enfance maltraitée<o:p></o:p>

    119 est un numéro qui vous apportera une aide immédiate 24H sur 24h et 7 jours sur 7 avec la possibilité de vous orienter vers l’association la plus proche de votre lieu d’habitation.<o:p></o:p>

    Tél. : 119 (Allô Enfance maltraitée)
    Site Web : www.allo119.gouv.fr <o:p></o:p>

    En France, on considère que 9,7% des françaises avant leur majorité connaissent un abus sexuel de quelque nature que ce soit et que 4,6% des garçons subissent une agression.

    <o:p> </o:p>

    Je ne peux pas terminer cet article pour vous, les jeunes sans vous mettre en garde sur le réseau internet qui est parfois effrayant. 182 000 sites pédophiles sont recensés dans le monde et environ 10 000 internautes les fréquentent en France, selon l’association « Innocence en danger ».

    La règle est la même que dans la vie : On ne doit pas suivre des étrangers et prendre le bonbon donné par l’inconnu à la sortie de l’école…Vous vous souvenez sans doute de ses recommandations lorsque vous étiez plus jeunes. Alors ne jamais donner votre vrai nom sur la toile, ni votre adresse, n° de téléphone dans un chat ou un forum. Les pédophiles s’introduisent sur vos forums jeunes, utilisent une fausse identité pour ensuite vous fixer rendez-vous. DANGER !<o:p></o:p>

    Il existe, aujourd’hui, un autre danger : La drogue du violeur que l’on soit mineur ou non.
    Je vous invite à lire dans les news, le verre qui fait tourner au cauchemar.

    Des actes de pédophilies ou autres sont commis après cette drogue versée dans votre verre.

     

    Pour toutes les personnes concernées par le fléau, je vous invite à aller sur les commentaires.
    Un lien vous conduit sur un site bien construit.

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il n’y a pas de profil type de la personne commettant des actes de pédophilie.

    Les pédophiles sont issus de tous les milieux sociaux et intellectuels. Néanmoins, on constate qu’on en retrouve fréquemment dans des professions au contact des enfants.

    En très grande majorité, les pédophiles sont des hommes (97%).

    Célibataires ou mariés…..Parents, ouvrez l’œil !

    Qui se cache sous le regard trop enjôleur de tel oncle ?

    Quels sont les fantasmes de votre très bon ami ?
    Qui est réellement le père de la meilleure amie de votre fille ?

    Qui est cet éducateur ou éducatrice si prévenant ?

    Et si c’était votre mari ????? Dans 40% des cas, c’est le père ou celui qui joue se rôle.

    <o:p> </o:p>

    Combien de mères ne veulent pas voir ou pas croire les révélations douloureuses de leurs têtes blondes ?

    Soyons clairs. Personne ne doit caresser les cuisses de votre enfant, personne ne doit  tâter les seins naissants de cette toute jeune fille, personne ne doit violer son intimité au sens propre comme au figuré.

    Posez vous la question ? Pourquoi mon adolescente commet des actes de délinquance, pourquoi elle ou il a tenté de se suicider ???? Face à certains comportements d’adolescente, et d’adolescent, il faut s’interroger. L’inceste est un crime.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    On distingue deux types d’abus sexuels :

                D’une part les abus extra-familiaux avec un abuseur proche de la victime ou inconnu.

                D’autre part, les abus intra-familiaux (inceste)

    <o:p> </o:p>

    On peut aussi classifier 3 types d’abus selon la gravité de l’acte qui est répréhensible et inadmissible :

                Abus de la sphère sensorielle, du domaine de l’excitation (manifestations d’exhibitionnisme).

                Abus par attouchements

                Abus avec tentative de viol ou viol.

    <o:p> </o:p>

    Les enfants de tous âges sont concernés, garçon ou fille. Les enfants ont, le plus souvent entre 4 et 11 ans.

    <o:p> </o:p>

    Nous sommes trois sœurs et c’est tout de même curieux que nous détestions toutes, cet oncle.
    C’est vrai, il ne nous a pas violée. En revanche, son regard trop appuyé sur nous, ses mains un peu baladeuses…..Aucune de nous est restée, en dehors de la présence de nos parents, en sa seule compagnie. Pédophile, il l’était dans sa tête. Il aimait le contact des jeunes filles en fleur. Il nous créait un sentiment de dégoût.

     Ce que je veux dire c’est que les pédophiles sont parmi nous.
    Il est nécessaire de protégez les enfants et adolescents.
    Il faut leur répéter : Votre corps vous appartient et personne n’a droit de vous toucher.

    <o:p> </o:p>

    L’attrait pédophilique est basé sur des désirs pour des corps prépubères. Mais la pédophilie connaît des variations….L’homme de 40 ans qui fantasme sur l’adolescente de 14 ans est aussi pédophile dans sa tête. Enfin le fantasme pédophile ne suppose pas automatiquement un passage à l’acte. Ainsi, on ne peut pas actuellement évaluer le nombre d’abstinents qui regardent des films ou des photos de très jeunes.


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  • La vérité sur les drogues du violeur

    Versées dans le verre des victimes, certaines substances annihilent toute velléité de résistance et entraînent une amnésie partielle de la soirée... Ce sont les fameuses "drogues du violeur". Ce phénomène inquiétant touche prioritairement les femmes et les jeunes. Ce qu’il faut savoir pour s’en protéger.

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    Si le premier rendez-vous est souvent un instant magique, il peut tourner au cauchemar. Car une nouvelle menace a fait son apparition depuis quelques années : la drogue du violeur. Mais derrière cette appellation générique se cachent plusieurs médicaments détournés de leur usage. Après une enquête de près de deux ans, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) rend un rapport complet, de l’identification des substances utilisées aux conséquences chez les victimes…

    119 cas de soumission chimique recensés en deux ans

    Le nombre d’agressions commises grâce à ces drogues serait en constante augmentation dans les pays anglo-saxons. Quelle est l’ampleur de ce phénomène en France ? Entre juillet 2003 et mars 2005, les services d’urgence, Samu, les centres de médecine légale… ont notifié 258 cas aux enquêteurs, dont 119 correspondent effectivement à des cas de "soumission chimique ou médicamenteuse", définies comme l’administration à des fins criminelles (viol, actes de pédophilie) ou délictuelles (violences volontaires, vol) de substances psychoactives à l’insu de la victime.


     

    Femmes

    Hommes

    Agressions sexuelles suivies ou non d’un vol

    46 cas

    8 cas

    Vols

    7 cas

    24 cas

    Tentatives de soumission

    5 cas

    5 cas

    Indéterminé
    (en raison d’une amnésie rétrograde et de l’absence de signe évident d’une quelconque agression)

    13 cas

    11 cas

    Les victimes sont principalement des femmes, âgées en moyenne de 30 ans. Elles subissent le plus souvent une agression sexuelle, associée ou non à un vol, perpétrée par un ou plusieurs hommes. A l’inverse, les hommes sont principalement victimes de vol avec ou sans agression physique. On note également un nombre assez important de mineurs (16 cas), victimes le plus souvent d’agression sexuelle (13 cas).

    Les femmes et les jeunes sont les premières victimes

    Les faits surviennent principalement au domicile de la victime ou de l’agresseur ou dans un lieu festif. Les médicaments les plus souvent utilisés par les criminels sont des benzodiazépines, et dans une moindre mesure d’autres sédatifs comme les antihistaminiques, les analgésiques, des anesthésiques (dont le fameux GHB) et des antidépresseurs. Une amnésie (52 % des cas), des troubles de la vigilance (39 %), des lésions traumatiques (31 %) et des troubles visuels (6 %) sont les symptômes les plus souvent décrits qu’ils soient en rapport avec les substances consommées ou secondaires à l’agression.


     

    Comment réagir ?

    En cas de doute, il est préférable de ne pas accepter un verre d’une personne en qui vous n’avez pas totalement confiance…


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