-
Par sephyr le 14 Avril 2008 à 09:51
Lannée dernière, jai mis cet article, ce cri du coeur sur mon blog.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
Après quelques mois, je lai retiré pour ménager les susceptibilités.<o:p></o:p>
Les vacances se profilent à lhorizon donc pour tous, je le remets en ligne.<o:p></o:p>
Je joints les commentaires car je trouve quils sont éloquents et vous invite à en mettre dautres.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Non Ce nest pas à moi de vider la poubelle.<o:p></o:p>
Pour qui me prend ton lorsquon remplit la poubelle de cette façon ???<o:p></o:p>
Il faut faire un rappel à lordre véhément pour que le sac poubelle soit changé <o:p></o:p>
Cest anormal.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Vacances ..<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pour toutes celles qui occupent une grande maison dans une région touristique<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pour ceux qui vont dans la famille pendant les vacances<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
La maison est grande il y a de la place Chouette, nous allons pouvoir nous retrouver.
Pourquoi pas, afin que la bande soit plus nombreuse, ne pas mettre une tente dans le jardin et se serrer à quatre dans une chambre ???<o:p></o:p>La maison est grande ainsi que la terrasse. Cest si pratique de se regrouper, ici.
Chaque soir, pendant 15 jours, nous serons au minimum 10 à table.<o:p></o:p>Réclamer deux soirs semaine, d'intimité...mais pourquoi donc???<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Je me lève et sur le canapé gisent une « baleine » de 18 ans et sa peluche. <o:p></o:p>
A pas feutrés, je vais dans la cuisine avant que la maison se réveille puis je me réfugie dans ce qui reste dintimité létage ou se trouve notre chambre à coucher. <o:p></o:p>
Les voix, les rires emplissent, peu à peu, la maison lorsque je vais redescendre de mon cocon, cest pour retrouver les bols sales du petit déjeuner, au mieux, dans lévier les miettes sur la table accompagnées du pack de lait vide et bien oui, la poubelle dégueule et personne na lidée de changer le sac.<o:p></o:p>
Cest une belle journée qui commence Le soleil brille et les oiseaux chantent.<o:p></o:p>
Vers 13 heures, une voiture arrive .Il faudrait ajouter une assiette avec le sourire.
Je pose la salade sur la table et jentends « Il ny a jamais rien à manger dans cette maison ».<o:p></o:p>Pardon, je devrai faire la cuisine, mettre le couvert, débarrasser, vider et mettre le lave vaisselle en marche, vider les poubelles et le tout, en chantant Et bien non, jai envie de pleurer. Pour qui les vacances ???<o:p></o:p>
Chacun prend ses quartiers. Alors, il me reste deux solutions pour ne pas craquer .Méclipser seule sur une plage tranquille ou rester dans la maison qui, pour quelques heures, est silencieuse. Jopte pour le bruit des vagues, histoire de me ressourcer.<o:p></o:p>
Je rentre de la plage comme tous, dailleurs. Lorsque je passe sous la douche, le ballon deau chaude nétant pas extensible, plus deau chaude pour mon shampoing.<o:p></o:p>
Dans le jardin, des serviettes de plage traînent ..une planche de surf couche les iris .<o:p></o:p>
Il faut nettoyer la table pour le repas du soir, arroser le jardin et détendre le linge.<o:p></o:p>
La télévision braille, le téléphone sonne.
« Ma sur vient darriver, elle peut venir dîner ? Japporte le dessert et le pain ».<o:p></o:p>Rien à faire puisque cest « Monsieur » qui soccupe du barbecue .<o:p></o:p>
Les amies arrivent et déposent le pain sur la table Avant que jai terminé dapporter le poivre ., elles sont assises, rient et tendent leurs verres pour être servies .Le pain nest pas coupé ..<o:p></o:p>
Cest toi, ma belle qui te lève dans le calme de ton petit logement et qui , au retour de la plage, prend ta douche avec, pour seule compagnie, ton air dopéra favori. Pourtant cest toi qui a débarqué, deux étés de suite, régulièrement le soir, à sept ou huit. Je te rappelle : Ta sur, son fils, ta filleule, ta fille et son copain, ton fils et son épouse, ton petit fils.<o:p></o:p>
Je peux comprendre que tu aies envie de profiter de ton petit monde ton petit monde, il occupe la maison de vacances de tes parents et te laisse, ta plus totale intimité. Alors, retrouve les, dans ce qui est votre maison et ne mimposes pas ta tribu .Tu dis étouffer parmi vos tensions familiales et tu dis aussi quheureusement que tu disposes d'un logement indépendant .Alors, ne peux tu pas penser à ce que je ressens face à l' invasion.<o:p></o:p>
Lorsque ton chéri est présent, tu es là pour personne .pourtant vous vivez, ensemble, à longueur dannées. Alors pourquoi abuses tu de lhospitalité lorsqu'il est absent??? Que fais tu de ma vie de couple?<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Il faut maintenant débarrasser, ranger pendant que certains commencent un billard, que dautres sortent un jeu du placard qui restera, en vrac, sur la table du salon après leur départ.<o:p></o:p>
« Grégoire, tu peux sortir les poubelles ? » et tu me réponds « si je veux »..cest en faisant la grimace, que tu vas évacuer le sac à ordures. Cela semble être ta phrase favorite le "si je veux" ...J'aimerai que spontanément, tu aides à mettre le couvert....<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Et puis, il y a toi. .tu es gentille néanmoins lorsque tu es dans cette maison, cest la tornade. Tu es aussi exubérante que je suis calme. Le pire, cest ton sans gêne exemplaire. Maintenant lorsque je cherche un livre qui na plus, que sa place, je me dis quil a peut être voyagé au nord de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France..">la France..</st1:PersonName> ;tout comme le bol dun enfant que jai cherché pendant longtemps avant de tinterroger et apprendre que bien oui, il était chez toi. Avant de te rencontrer, je pensais que personne ne se permettrait de pénétrer notre chambre à coucher, que personne se servirait de la ligne téléphonique sans demander et bien avec toi, jhallucine. <o:p></o:p>
Love, peace, freedom, OK si, ce nest pas ici. Ta liberté dêtre, nest pas de te servir, dans nos affaires comme s il sagissait des tiennes. Tu narrives pas à comprendre ou est le problème de débarquer à quatre pendant plusieurs jours .Tes enfants sont adorables ce qui ne mempêche pas de ne pas avoir envie dentendre les émissions de télé qui intéresse ton fils, a plus dheure et de voir la fille de ton ami dormir sur le canapé du salon, de tentendre me saouler de paroles De te voir grimper à létage, dans notre refuge..Pouce !<o:p></o:p>
Ton choix est de mettre lappartement dont tu as hérité en location à lannée. Rien à dire si tu ne considérais pas cette maison dans laquelle je vis comme terre daccueil, en remplacement.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Et toi, mon petit neveu que jaime beaucoup..Lorsque je te demande de nettoyer la chambre, de vider ta corbeille et de faire en sorte que je nai pas à men occuper car, elle va servir à dautres. « tu plaisantes, Taty » et bien « non, mon chéri, je ne plaisante pas ». Tu viens avec ta copine, tu es donc en âge de nettoyer ce qui ta été prêté.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Et toi, le bon copain du fils de la maison fils de qui tu es, rappelle moi Tu pars en laissant dans ta chambre, le lit en vrac, les cendriers qui dégueulent et 7 cannettes de bière vides qui traînent. Il parait que tu es, toujours, le bienvenu dans cette maison...<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Toujours les mêmes planqués et toujours les mêmes qui participent. Ce quil y a détrange cest que cest, celle qui aide qui à limpression de gêner. Alors, ma petite belle fille, non ce nest surtout pas, après toi que jen ai. Evidemment, tu perçois ma mauvaise humeur, hors tu nes en rien responsable Non, Marine, ce nest pas, de toi que je parle car tu es parfaite.<o:p></o:p>
Ce sont les autres.<o:p></o:p>
Tu nes pas non plus concernée, ma douce Nadège..Toi qui est si discrète que je suis obligée dinsister pour que tu te joignes à nous.<o:p></o:p>
Toi, non plus, mon tendre Hugo qui arrive avec tes draps et ta serviette, qui va chercher des huîtres, rien que pour me faire plaisir et pour me donner aucun travail.<o:p></o:p>
Alors vous, sachez le, vous voir est que plaisir.<o:p></o:p>
A cause des abus de certains, à cause surtout du fait quon ne sache pas dire NON, vous pâtissez tous, de ma mauvaise humeur grandissante, au fil des jours.
Moi, je rage et je pleure tandis que dautres se réfugient dans lalcool. <o:p></o:p>
Qui cela dérange ? Qui sinterroge ? Certainement pas ceux et celles à qui cela profite bande de saprophytes.<o:p></o:p>
A faire de la maison, un hall de transit, ils mont rendue insociable hors que jaime recevoir des amis, préparer un petit dîner.<o:p></o:p>
Vous pensez, peut être, que jai de la chance de vivre dans une grande maison ???<o:p></o:p>
Je rêve doccuper un appartement de taille standard avec terrasse. Cest moi qui irai chez les autres mais cest promis, je mettrai comme je lai toujours fais, la main à la pâte.<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
Ah joubliais, je ne suis pas vraiment chez moi <o:p></o:p>
Je suis la marâtre qui rouspète face aux mégots jetés sur la pelouse, aux capsules de bière balancés des fenêtres des chambres, dans le jardin celle qui refuse de remplir les bacs à glaçons toujours vidés par les mêmes, celle qui refuse encore de laver les bols du petit déjeuner, celle qui refuse que le setter partage le salon et monte sur les canapés, refuse aussi que la chienne monte sur le billard et pourtant cest bien la seule qui lave le pauvre animal quatre fois par an.<o:p></o:p>
La marâtre qui vous aime bien tous , en revanche qui tient à un minimum dintimité et qui ne voit pas pourquoi le mois daoût est devenu le mois de tous les excès, le mois ou la maison ressemble à un hall de gare ..sous prétexte que vous êtes en vacances.<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
A vous tous qui allez en vacances chez les autres,<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Les jeunes et les moins jeunes .si vous venez, en voiture, prenez vos draps et serviettes. Si ce nest pas le cas, mettez le linge dans la machine à laver, avant de partir.
Donnez un coup de balai dans la pièce que vous avez occupé et vider les corbeilles .<o:p></o:p>Et pendant vos vacances, participez .remplir et vider le lave vaisselle nest pas réservé exclusivement à la maîtresse de maison..et puis aider à la préparation des repas est normal ainsi que mettre et débarrasser la table.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
visiteur_Delphine (le 16/05/2007 à 10h10)<o:p></o:p>
Je vous comprends trop bien. Je vis un calvaire identique depuis des années. J'ai quatre enfants et nous avons gardé une maison familiale. Deux de mes enfants et leurs conjoints sont prévenants et aident alors que mes deux derniers usent et abusent. Comme je veux voir mes petits enfants, je subis en silence.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_Marianne et Paul (le 13/05/2007 à 15h05)<o:p></o:p>
Il y a de quoi faire un sketch en lisant votre article. Cela ne doit pas être facile a vivre.
Les sans genes ne s'en soucient jamais et le pire c'est qu'ils ne se sentent même pas concernés.<o:p></o:p><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_visiteur Luc (le 09/05/2007 à 22h23)<o:p></o:p>
Le tri sélectif, vous connaissez? Si vous ne voulez pas sombrer à cause de tous les parasites, il est nécéssaire d'agir et cela me parait urgent.
Avec mes sentiments les meilleurs car vous semblez trop gentille ou trop amoureuse.
Vous ne semblez pas mériter cela.<o:p></o:p><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
sephyr (le 07/05/2007 à 14h07)<o:p></o:p>
J'ajoute ce paragraphe, suite à vos commentaires de soutien.
La question a me poser est, peut être, pourquoi vivre cela?
La réponse est simple...Nous vivons ensemble ou plus exactement je vis chez lui...
Les affaires de ma fille monopolisent une chambre, mon fils en occupe une autre.....donc pour eux tous, ce nest pas facile à vivre.
Mes enfants ont reçus une éducation différente et mes amis sont plutôt du genre discret.
Nous nous aimons ce qui ne m'empêche pas de refuser qu'on me tue à petits feux.
Je ne m'étendrai pas davantage sur le sujet...Intimité!
Difficile les familles recomposées.<o:p></o:p><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_dominique (le 27/04/2007 à 10h08)<o:p></o:p>
Je vous remercie pour votre article.
Chez vous, chez lui cela semble être sans limite, la mauvaise éducation.
J'espère que parmi les nombreux lecteurs, certains s'identifieront à vos personnages et en tireront leçon.
J'habite Tours et cela semble être une halte facile pour aller sur l'Atlantique.
J'ai fais hôtel. Pour certains avec le sourire et d'autres avec la grimace. C'est terminé, maintenant pour les derniers, je trouve un prétexte et ne les reçois plus.<o:p></o:p><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_gene (le 24/04/2007 à 08h17)<o:p></o:p>
ma chère P., le sans gêne a ses limites ! à ce point, c'est insensé.........
quand j'habitais Hendaye, ts ls étés, la famille débarquait, ns avons emménagé en dordogne, et plus personne.............ou très rarement, mais cela se passait bien !!!!!!! il valait mieux .......
en tt cas, votre article suscite bcp de commentaires, et vs avez eu un certain courage à le mettre sur votre blog, certains vont se reconnaitre, surement, et peut etre cela les fera réagir ds "le bon sens"..........<o:p></o:p><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_huntakotz (le 24/04/2007 à 00h46)<o:p></o:p>
Le début de l'article est comique et très vite les mots reflentent une réalité très triste. Ne pas dire non, pourquoi?
Manque d'autorité, manque de confiance en soi ou faille dans le couple?
Courage! car lorsqu'il y a faiblesse, les saprophytes s'engouffrent.<o:p></o:p><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_dominique (le 23/04/2007 à 17h06)<o:p></o:p>
Nous habitons à l'année une maison à cinq minutes de la plage. Tous les étés, c'était la même chose..;la famille descendait de Paris...des amis aussi. Je n'en pouvais plus ...tout leur semblait être naturel. Après quelques années infernales, nous avons mis fermement une fin à cette invasion estivale. Je respire et profite à nouveau pendant les vacances. Il était temps car cela m'irritait et mon ménage en devenait menacé.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_Catherine (le 23/04/2007 à 15h55)<o:p></o:p>
Ce sont vos amies ou celles de votre mari?
C'est votre famille ou celle de votre conjoint?
Vu de l'extérieur, votre couple est en danger. J'ai tenu la maison qui venait de mes beaux-parents et connu l'enfer.
Les profiteurs n'en ont rien à faire. Seuls leurs propres intér^ts priment.
Bon courage à vous<o:p></o:p><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_Anthéa de Fendragon (le 23/04/2007 à 15h54)<o:p></o:p>
Votre récit m'est étrangement familier. Même si je n'ai qu'un petit appartement, ma porte était toujours ouverte. Une amie avait besoin de calme pour réviser, je lui prêtais le double de mes clés. Ma porte était toujours ouverte, à la famille comme aux ami(e)s. Jamais aucune aide, jamais aucun merci. Nombreux repartaient l'appart dévasté et je nettoyais sans broncher. Et puis un jour, insidieusement une dépression assez sévère m'est tombée dessus. Et là plus personne, pas un geste, pas un appel pour savoir comment j'allais. Quand j'ai fini par aller mieux, j'ai vu le "cirque" sur le point de recommencer, j'ai dit STOP. Aujourd'hui les gens que je reçois sont respectueux et mettent la main à la patte, je suis toujours d'humeur joyeuse. J'ai fait le tri, exit les pique-assiettes et profiteurs de tout poil (y compris dans la famille). Vous semblez être une gentille personne, si vos proches ne sont capables de reconnaître la chance qu'ils ont de vous avoir et d'avoir cette maison où se réunir, il faut remettre les pendules à l'heure, gentiment ... mais fermement. Je vous souhaite bon courage.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_carole (le 23/04/2007 à 15h45)<o:p></o:p>
Nous ne sommes pas tous des parasites et merci de l'avoir mentionner. Nous sommes cinq enfants, tous d'âge adulte et je comprends fort bien, votre mécontontement. Deux d'entre nous abusent de l'hospitalité de nos parents. Après eux, je ne reproduirai pas le schéma et demanderai la vente de cette maison depuis deux générations dans la famille. Ce sont "les parasites" qui en seront le plus privés. Tant pis pour eux car ils n'avaient qu'à être plus respectueux.
Amicalement<o:p></o:p><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_visiteuse Anne (le 23/04/2007 à 14h58)<o:p></o:p>
Sac à aspirateur plein et placards vides sans parler des griffes du chat sur le canapé et des lessives de draps, j'ai connu.Vous avez raison ce ne sont pas des vacances pour tous. Nous avons vendu la maison et je ne le regrette absolument pas car c'était infernal pour moi, l'été. Curieux, ma cousine et mes deux nièces qui venaient, chaque été, passer des vacances à bon marché, je les rencontre maintenant uniquement aux enterrements. sans commentaire.
Vendez, fuyez ou faites preuve d'autorité.<o:p></o:p><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_Marc (le 23/04/2007 à 14h03)<o:p></o:p>
Je viens avec assiduité sur votre blog que j'apprécie. Généralement je ne me manifeste pas hors, aujourd'hui, votre article étant plus personnel, je déroge.
J'ai aimé "A qui profite...saprophytes".
A t'on déjà vu des saprophytes se soucier de leurs hébergeurs? Non.
Si vous étiez chez vous, je vous dirai "vendez". Cela ne semble pas être le cas. La question à poser est donc: Qui est ce mari qui tolère que certains profitent à vos dépens. Qui est il qui accepte une vie en août qui soit au détriment de vous et de votre couple? Excusez ma franchise et bon courage<o:p></o:p><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_Daniel (le 23/04/2007 à 12h10)<o:p></o:p>
Sans gêne, manque d'éducation et surtout manque de respect envers vous.
Il est temps de réagir. Vous ne semblez pas être une maratre et vos remarques sont naturelles<o:p></o:p><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_martine (le 23/04/2007 à 11h06)<o:p></o:p>
Vous avez un billard à la maison. Nous avons une piscine dans le jardin. Depuis 17 ans, interdiction formelle aux copains de venir le week end..Cela nous préserve. Un couple a besoin d'intimité..Il ne résiste pas aux intrusions permanentes. Alors attention<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
visiteur_renée (le 23/04/2007 à 01h20)<o:p></o:p>
Tes personnages me font penser a mes deux greres...pauvre mere qui s epuisair. Je me felicite encore d avoir refusé l indivision et que cette maison soit vendue.
Bon courage<o:p></o:p>
3 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique