• Mademoiselle Coco<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Jeune, elle perd sa mère et son père la confie à un orphelinat. Sortie du pensionnat, elle devient vendeuse dans une bonneterie de Moulins.<o:p></o:p>

    Elle a un caractère solide et est de nature indépendante. A ses heures perdues, elle chante « Qui qu’à vu Coco » dans une salle de concert voisine. Le surnom est entré dans la légende.<o:p></o:p>

    Ses rencontres amoureuses vont lui permettre de quitter sa vie provinciale et de monter une petite boutique de mode à Paris. Créatrice de chapeaux reconnue, elle ne tarde pas à lancer une ligne de vêtements. Elle crée une ligne sport pour les femmes…et s’affiche sur les plages en marinière et jupe fluide, montrant la cheville, dans une matière nouvelle, le tricot. Elle ira de plus en plus loin et adaptera ses modèles aux circonstances (guerre de 1914)…Le style Chanel est né…Collier sur les pulls, le célèbre tailleur, le tweed pour femme, le pantalon taille basse , le sac en bandoulière….<o:p></o:p>

    Elle porte des souliers à bouts ronds et envoie, au diable, les chaussures à bouts pointus.<o:p></o:p>

    S’affiche à l’opéra avec une coiffure courte, à la garçonne.<o:p></o:p>

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    « Si vous êtes née sans ailes, ne faites rien pour les empêcher de pousser » dira t’elle, vers la fin de sa vie.<o:p></o:p>

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    Lorsqu’en 1921, Grabielle Chanel décide de lancer un parfum à sa griffe, la mode est aux fragrances capiteuses et poudrées. « L’ange exterminateur » de la mode comme l’appelle Jean Cocteau est une révolutionnaire. Elle veut du « jamais senti »..un parfum à odeur de femme. Sa rencontre avec le parfumeur Ernest Beaux sera décisive. C’est l’époque de Picasso, Breton, Dada….Trait de génie, le N° 5.<o:p></o:p>

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