-
Maurice Béjart
Béjart Maurice, danseur et chorégraphe<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
De son vrai nom Berger, il est né en 1927 à Marseille. <o:p></o:p>
Fasciné par Serge Lifar, il décide de se consacrer entièrement à la danse et fait ses débuts artistiques à quatorze ans,à lopéra de Paris, puis auprès de Roland Petit.<o:p></o:p>
1951, il crée son premier ballet, L'Inconnu, , puis règle L'Oiseau de feu.<o:p></o:p>
1955, il crée Symphonie pour un homme seul avec sa compagnie, les Ballets de l'Étoile (musique de Pierre Henry et Pierre Schaeffer), qui lui vaut les honneurs de la presse et du public.<o:p></o:p>
1960, après avoir été remarqué par Maurice Huisman, alors directeur du Théâtre royal de la Monnaie, il crée à Bruxelles le Ballet du XXe siècle avec lequel il parcourt le monde entier et initie un vaste public de néophytes à la danse. <o:p></o:p>
1961,il monte avec Jorge Donn le Boléro de Maurice Ravel qui devient une de ses chorégraphies emblématiques.<o:p></o:p>
1987, au terme d'un conflit ouvert avec le directeur de La Monnaie Gerard Mortier, Béjart, en pleine tournée à Léningrad, décide de ne plus revenir en Belgique. Peu de temps après, <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Fondation Philip">la Fondation Philip Morris (établie à Lausanne) lui propose de venir s'installer en Suisse. Béjart dissout alors le Ballet du XXe siècle et fonde à Lausanne une nouvelle compagnie, le Béjart Ballet Lausanne.<o:p></o:p></st1:PersonName>
Tant au Ballet du XXe siècle qu'à Lausanne, Béjart accueille des danseurs de haut niveau, de toutes nationalités. S'attachant à réhabiliter la danse masculine, il exige de ses interprètes une parfaite maîtrise de la danse académique et une grande faculté d'adaptation aux courants néoclassiques. Adepte d'un spectacle total, il mêle les univers musicaux, lyriques, théâtraux et chorégraphiques, mettant en valeur les qualités individuelles de ses solistes, tout en étant très exigeant pour les mouvements d'ensembles. Les thématiques qu'il aborde sont souvent universelles et il n'hésite pas à mettre en scène les grandes questions de l'actualité, comme le sida ou l'écologie.<o:p></o:p>
Jai eu la possibilité et le plaisir de voir deux de ses chorégraphies :<o:p></o:p>
Le Boléro<o:p></o:p>
Ballet monumental, sans vouloir le décrire, ce fut un moment inoubliable. Tout comme la musique,la danse prend du volume (si je peux mexprimer ainsi) et lintensité senroulent crescendo. Sensualité exacerbée par une danseuse qui lexprime avec force et entourée dune groupe de danseurs.<o:p></o:p>
Brel et Barbara<o:p></o:p>
Béjart avait pour amis Barbara et aussi Brel qui lui avait dit « un jour, on fera quelque chose avec Barbara ». Il a rendu un très bel hommage, en danse et musique.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Voir un ballet de Béjart cest aussi et peut être surtout voir sur scène, lessentiel. Cet homme na pas de frontière Il a dansé la terre entière. Sans quitter sa formation classique, il fait danser sans à priori <o:p></o:p>
Erotisme et fraternité, solitude et voyage, humour et amour ses ballets vont bien plus loin que lart de la danse. Peut être tout simplement retrouvons nous le vrai sens de lart la beauté dans toute sa plénitude La beauté qui parle aux âmes et non exclusivement aux balletomanes. Avec lui, il y a de lamour sur scène et sa troupe respire autant quelle transpire.<o:p></o:p>
Depuis 35 ans, BARBARA, mon amie fidèle, ma soeur, me disait "Je suis la lumière noire !" et je fis une <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
- <o:p> </o:p>
uvres principales <o:p></o:p>
- 1957 : Sonate à trois (Essen) <o:p></o:p>
- 1958 : Orphée (Liège) <o:p></o:p>
- 1959 : Le Sacre du printemps (Bruxelles) <o:p></o:p>
- 1961 : Boléro (Bruxelles) <o:p></o:p>
- 1964 : IXe Symphonie (Bruxelles) <o:p></o:p>
- 1966 : Roméo et Juliette (Bruxelles) <o:p></o:p>
- 1967 : Messe pour le temps présent (Avignon) <o:p></o:p>
- 1968 : Bhakti (Avignon) <o:p></o:p>
- 1972 : Nijinski, clown de Dieu (Bruxelles) <o:p></o:p>
- 1975 : Pli selon pli (Bruxelles) <o:p></o:p>
- 1975 : Notre Faust (Bruxelles) <o:p></o:p>
- 1977 : Petrouchka (Bruxelles) <o:p></o:p>
- 1980 : Eros Thanatos (Athènes) <o:p></o:p>
- 1982 : Wien, Wien, nur du allein (Bruxelles) <o:p></o:p>
- 1983 : Messe pour le temps futur (Bruxelles) <o:p></o:p>
- 1987 : Souvenir de Léningrad (Lausanne) <o:p></o:p>
- 1988 : Piaf (Tokyo) <o:p></o:p>
- 1989 : 1789... et nous (Paris) <o:p></o:p>
- 1990 : Pyramide (Le Caire) <o:p></o:p>
- 1991 : Tod in Wien (Vienne) <o:p></o:p>
- 1992 : <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Nuit">La Nuit</st1:PersonName> (Lausanne) <o:p></o:p>
- 1993 : M (Tokyo) <o:p></o:p>
- 1995 : À propos de Shéhérazade (Berlin) <o:p></o:p>
- 1997 : Le Presbytère... (Paris) <o:p></o:p>
- 1999 : <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Route">La Route</st1:PersonName> de la soie (Lausanne) <o:p></o:p>
- 2000 : Enfant-roi (Versailles) <o:p></o:p>
- 2001 : Tangos (Gênes) <o:p></o:p>
- 2001 : Manos (Lausanne) <o:p></o:p>
- 2002 : Mère Teresa et les enfants du monde <o:p></o:p>
- 2003 : Ciao Federico, en hommage à Fellini <o:p></o:p>
- 2005 : L'Amour - <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Danse">La Danse</st1:PersonName> <o:p></o:p>
- 2006 : Zarathoustra <o:p></o:p>
- 2007 : Béjart : Best of <o:p></o:p>
-
Commentaires
1visiteur_geneSamedi 24 Novembre 2007 à 10:07j'aimais bcp ce Grand chor?aphe, je n'ai pas la chance d'avoir vu un de ces spectacles, mais gr? ?a t?vision, et le cin?, dont le film de Lelouch, les uns et les autres, ou il y a le bol? de Ravel, Magnifique Envoutant, comme l'?it Barbara.............j'ai pass?evant le petit et le grand ?an ds moments inoubliables.Répondre
Ajouter un commentaire