• Henri de Toulouse Lautrec

    1864.1901


    Deux fractures successives à la jambe le rendent infirme et arrêtent sa croissance.
    Ses seules distractions sont le dessin et la peinture pour lesquels il montre des dons très précoces.

    Dès 1885, il fréquente les cafés-concerts, les bals du moulin Rouge, de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Galette">la Galette</st1:PersonName> et s’imprègne de la vie montmartoise.
    Il expose chez son ami Bruand dans son cabaret, le Mirliton.

    On le considérait comme l’âme de Montmartre.

    Ses peintures dépeignent la vie au « moulin Rouge » et autres cabarets ainsi que des maisons closes.

    Louise Weber plus connue sous le nom de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Goulue">la Goulue</st1:PersonName>, danseuse excentrique qui créa le « cancan » est très souvent peinte par Lautrec.


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  • Mattin Partarrieu<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Peintre.


    Robert Doisneau disait de lui qu’il « montrait la comédie du quotidien avec un regard amusé et tolérant ».


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  • Paroles extraites des "Emotions poétiques" d'Antoine Pol

    Chanté par G. Brassens

    Les Passantes

    Je veux dédier ce poème
    A toutes les femmes qu'on aime
    Pendant quelques instants secrets
    A celles qu'on connait à peine
    Qu'un destin différent entraîne
    Et qu'on ne retrouve jamais

    A celle qu'on voit apparaître
    Une seconde à sa fenêtre
    Et qui, preste, s'évanouit
    Mais dont la svelte silhouette
    Est si gracieuse et fluette
    Qu'on en demeure épanoui

    A la compagne de voyage
    Dont les yeux, charmant paysage
    Font paraître court le chemin
    Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
    Et qu'on laisse pourtant descendre
    Sans avoir effleuré sa main

    A la fine et souple valseuse
    Qui vous sembla triste et nerveuse
    Par une nuit de carnaval
    Qui voulu rester inconnue
    Et qui n'est jamais revenue
    Tournoyer dans un autre bal

    A celles qui sont déjà prises
    Et qui, vivant des heures grises
    Près d'un être trop différent
    Vous ont, inutile folie,
    Laissé voir la mélancolie
    D'un avenir désespérant

    Chères images aperçues
    Espérances d'un jour déçues
    Vous serez dans l'oubli demain
    Pour peu que le bonheur survienne
    Il est rare qu'on se souvienne
    Des épisodes du chemin

    Mais si l'on a manqué sa vie
    On songe avec un peu d'envie
    A tous ces bonheurs entrevus
    Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
    Aux cœurs qui doivent vous attendre
    Aux yeux qu'on n'a jamais revus

    Alors, aux soirs de lassitude
    Tout en peuplant sa solitude
    Des fantômes du souvenir
    On pleure les lêvres absentes
    De toutes ces belles passantes
    Que l'on n'a pas su retenir


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  • Aux jeunes majeurs.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Vous poursuivez des études ou vous êtes dans l’incapacité physique (handicap reconnu) d’occuper un emploi. Dans ces cas, vous avez droit de demander une pension alimentaire pour vous aider à subvenir à vos besoins, à vos deux parents et aussi à vos grands parents.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il est évident que si vous entretenez des bonnes relations avec vos parents, ceux-ci feront ce qu’ils peuvent pour vous venir en aide dans la mesure de leurs possibilités et du raisonnable.<o:p></o:p>

    Tentez de négocier gentiment, d’expliquer vos réelles nécessités, vos projets est indispensable avant d’engager une action devant les tribunaux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Si en revanche, votre père (ou votre mère) vous a mis à la porte ou c’est lui (ou elle) qui est parti ou bien encore qu’il (ou elle) a arrêté de verser la pension à votre majorité oubliant dans sa colère, son égoïsme ou sa souffrance qu’il (elle)  avait des devoirs envers vous, REAGISSEZ !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

     Prenez votre plume ou votre clavier et faites une lettre avec copie (pour vous, en archive) que vous adresserez à votre ou vos parents s’ils ne veulent rien entendre à vos besoins. N’oubliez pas de dater votre lettre et d’expliquer clairement vos besoins (vous oubliez, s’il vous plait, le budget cigarettes, ciné, sorties). Il s’agit de faire ressortir les dépenses incompressibles comme un logement, eau, électricité, frais d’inscription à la fac ou autre, le minimum pour manger, les frais scolaires…. Si vous percevez une bourse, dites le. Il est préférable de jouer la transparence et de n’avoir rien à se reprocher. Notez une date d’expiration à votre courrier. Exemple : (Si le 1 juillet, vous ne vous êtes pas manifestés, c’est avec peine mais fermeté que je saisirai le juge qui s’occupe des pensions alimentaires). Exprimez votre attente financière et dites que vous souhaitez qu’il (elle) ou ils ne vous oblige pas à faire une démarche douloureuse devant les tribunaux. J’écrits douloureux car j’imagine que c’est pénible pour le jeune de devoir obliger ses parents à s’acquitter d’un devoir avec le recours d’un juge.<o:p></o:p>

    Non seulement je l’imagine , je le sais car j’ai vu un de mes proches en faire la demande.<o:p></o:p>

    Il est inadmissible qu’un jeune qui poursuit correctement des études ne soit pas aidé par sa famille. Pourtant, cela se voit dans tous les milieux.<o:p></o:p>

    Si c’est pour obtenir un diplôme ou palier à un handicap, vous n’êtes pas un mauvais garçon ou une mauvaise fille à demander à la juge d’obliger vos parents à vous aider.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

     Il faut téléphoner à des cabinets d’avocats et expliquez votre demande<o:p></o:p>

    Ou aller à la mairie ou au tribunal demander un formulaire d’aide juridictionnelle (les frais de procédure ne sont pas à votre charge si vous avez peu ou pas de ressources).<o:p></o:p>

    Les avocats défendent en principe, gentiment, les jeunes dans votre situation.<o:p></o:p>

    Vous n’aurez pas à vous présenter au tribunal…Un avocat vous représentera.<o:p></o:p>

    Les juges si vous êtes honnêtes dans votre démarche vous donneront raison.<o:p></o:p>

    N’oubliez pas qu’il s’agit d’une obligation, d’un devoir que les parents ont.<o:p></o:p>

    Alors courage…mais n’arrêtez surtout pas vos études pour un non respect de la part de vos parents à l’obligation d’entretien qu’ils ont.<o:p></o:p>


    La  loi oblige les parents à aider leurs enfants que les parents soient mariés , séparés, divorcés ou non.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La loi précise que l’obligation parentale se poursuit dans le cas de poursuite d’études, de recherche d’emploi ou d’incapacité physique à travailler (art 371-2 du code civil).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour infos : (j’ai fais un copié/collé)<o:p></o:p>

    Majorité :<o:p></o:p>

    Aucune disposition légale ne limite à la minorité de l'enfant l'obligation des parents de contribuer à l'entretien et à l'éducation de celui-ci. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Cour">La Cour</st1:PersonName> de cassation a régulièrement rappelé ce principe. En conséquence, même si le jugement de divorce ne le prévoit pas expressément, l'enfant devenu majeur, mais aussi le parent qui en assume toujours la charge, peuvent demander à ce que le versement de la pension alimentaire ne soit pas interrompu après 18 ans (voir aussi lettre D et E).
    Même si dans certains cas la demande peut être rejetée, l'enfant majeur peut demander à ce que la pension lui soit versée directement ; par exemple, lorsqu'il vit de manière autonome en poursuivant des études loin de son domicile habituel.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Etudes :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le versement prolongé d'une pension alimentaire au-delà de la majorité de l'enfant est généralement le fait de la poursuite d'études et le fait que l'enfant n'est pas financièrement autonome. Le jeune majeur étudiant n'a cependant pas un droit absolu au versement prolongé d'une pension alimentaire. Un travail sérieux et constant est en principe exigé de sa part. Les échecs renouvelés, un défaut d'assiduité aux cours ou un retard scolaire sans justification, mais aussi des études qualifiées de non sérieuses, peuvent être invoqués pour mettre fin à l'obligation d'entretien. Lorsque les conditions sont réunies (ex : l'enfant majeur commence à travailler), même s'il est assuré de son bon droit, le parent astreint au versement ne doit pas arrêter de lui-même ses versements, il doit s'adresser impérativement au juge aux affaires familiales.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Durée du versement :<o:p></o:p>


    Normalement, la pension cesse d'être versée à la majorité de l'enfant. Mais le juge précise souvent qu'elle doit être versée au-delà si l'enfant ne peut subvenir à ses propres besoins (études, handicap, etc.). La jurisprudence a régulièrement confirmé ce principe même en l'absence de jugement dans ce sens <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Abandon de famille, c’est le fait de ne pas vous aider financièrement :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le fait d'être resté volontairement plus de 2 mois sans payer la pension alimentaire est constitutif du délit d'abandon de famille, lequel peut être puni par 2 ans d'emprisonnement et une amende de 15 000 €.
    Le débiteur de la pension organisant frauduleusement son insolvabilité (augmenter sciemment ses dettes, organiser son appauvrissement, dissimuler ses revenus ou ses biens) peut aussi être puni de 3 ans d'emprisonnement et d'une amende de 45 000 €.
    <o:p></o:p>


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  • Photo de Christian Klippel

    Fête des pères<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Aux pères qui sont égoïstes et ne pensent qu’à eux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Aux pères qui sont aigris et qui rejettent leurs enfants.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Aux pères qui blessent et humilient les plus jeunes qu’eux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Je sais, un père est un homme. Comme nous sommes loin d’être  parfait, le père parfait n’existe pas.<o:p></o:p>

    Pourtant en donnant la vie…oui vous l’avez donné tout autant que la mère,<o:p></o:p>

    Vous vous êtes engagés auprès d’un petit être pour une vingtaine d’années.
    Une vingtaine pouvant aller bien au-delà<o:p></o:p>

    Car si votre chérubin fait des études, a des problèmes de santé….c’est vous qui devrez l’accompagner.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Je pense aux pères qui suite à un divorce abandonnent leurs rejetons.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Se remarier ou continuer sa vie sur un autre chemin, vous regarde.<o:p></o:p>


    Votre petit va devenir grand….Ou que vous soyez, il a besoin de votre main tendue.<o:p></o:p>

    Ne réglez pas vos comptes au travers de vos enfants…c’est, avant tout, eux, que vous  blessez.<o:p></o:p>

    Quelque soit votre passé, ils ou elles sont là….et vous attendent.<o:p></o:p>

    Etre père ce n’est pas simplement changer une couche et donner un biberon.<o:p></o:p>

    Etre père ce n’est pas simplement apporter de l’argent à la maison<o:p></o:p>

    Etre père c’est montrer le chemin…(Relire « Tu seras un homme, mon fils »).<o:p></o:p>

    Etre père, c’est encourager…<o:p></o:p>

    Etre père, c’est protéger et AIMER.
    Aimer sans rien demander en retour<o:p></o:p>

    Le retour se fera dans quelques années…..en fonction de la tendresse donnée pendant l’enfance et l’adolescence.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    « Dire, je me suis trompé, je me suis égaré et je t’ai délaissé…..aujourd’hui, je regrette ce comportement et je souhaite te suivre dans la construction de ta vie ». Phrase qui n’est pas anodine car elle doit correspondre a un nouveau comportement de votre part.<o:p></o:p>

    Un jeune qui a été blessé une fois est encore plus vulnérable…Une seconde blessure le marquera profondément. Il est toutefois toujours temps de se rapprocher de ses enfants.

     

    Ne laissez pas vos enfants, même lorsqu'ils sont grands, verser des larmes

    Quelque soit votre vertige, vos aigreurs et votre propre souffrance.

    <o:p> </o:p>

    Je connais des hommes devenus à leur tour père et presque grand père qui sont  irrémédiablement meurtris par le manque d’amour de leur père, aujourd’hui disparu.
    Je connais des hommes qui souffrent et font souffrir leur entourage à cause de la conduite de leurs pères.
    Je connais des filles qui en pleurant sont obligées de saisir les tribunaux pour recevoir de quoi poursuivre leurs études.<o:p></o:p>

    Et tous ceux et celles que je ne connais pas….et tous ceux et celles qui ont été battues….<o:p></o:p>

    Et toutes celles dont le père a abusé ????????<o:p></o:p>

    Je pense a eux pour qui « la fête des pères » est une déchirure. <o:p></o:p>

    Un jour qui marque plus que les autres, la blessure, l’injure, l’humiliation ……..<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mon père à moi, il n’est pas parfait pas plus que je le suis.
    Je lui ai fais plein de reproches…Je le trouvais trop rigide….trop vieux jeu…..et avec les années, j’ai compris qu’il m’avait enseigné les valeurs essentielles.<o:p></o:p>

    J’ai compris qu’il m’avait aidé à devenir ce que je suis.
    D’un  amour paternel pudique, sans grande démonstration, j’ai compris qu’il m’avait toujours aimé.
    J’ai compris la chance que j’avais de porter son nom.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A plus de cinquante ans, je comprends la chance de pouvoir te dire sincèrement <o:p></o:p>

    « Bonne fête Papa ».


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